Ah, le monde merveilleux des visuels publicitaires ! Qui aurait cru qu’une image puisse nécessiter autant de stratégies qu’un plan pour conquérir Mars ? Allons-y ensemble, et essayons de ne pas trébucher sur nos pinceaux numériques.
Neuchâtel : la mecque du studio photo… ou presque
Commençons notre périple à Neuchâtel, qui, d’après moi, est le berceau du studio photo. Enfin, c’est surtout parce que je n’ai entendu parler que de celui d’à côté. Mais sérieusement, trouver le bon studio, c’est comme chercher une aiguille dans une botte de foin, sauf que la botte de foin est remplie de lampes et d’appareils photo.
Un bon studio ressemble à une boite de chocobons : ça coûte cher, c’est plein de lumière et si vous avez de la chance, vous en sortez avec quelque chose de mémorable.
éclairage professionnel : plus qu’allumer une ampoule
Amis de l’ombre, sachez que l’éclairage professionnel ne se résume pas à allumer toutes les ampoules que vous avez sous la main. Non, non, non ! C’est un art, un peu comme faire cuire des frites sans les cramer. Il faut savoir doser la lumière, ni trop, ni trop peu, comme un bon café.
Imaginez votre image comme un gâteau au chocolat. L’éclairage, c’est le glaçage : ça doit être parfait. Sinon, vous risquez de vous retrouver avec quelque chose d’aussi appétissant qu’un brocoli sucré.
Composition d’image ou l’art de jongler avec des éléments
La composition d’image, c’est tout un poème. C’est comme essayer de faire rentrer un chameau dans une Fiat 500. Tout est question d’équilibre. Trop d’éléments ? On dirait une cacophonie visuelle. Trop peu ? Ça ressemble à mon compte en banque à la fin du mois.
Il faut que ça chante, que ça danse, que ça ait du rythme. Sinon, votre image risque de se retrouver aussi plate qu’un pancake oublié sur le grill.
Retouche photo : parce que même la joconde a ses jours sans
La retouche photo, c’est un peu comme cacher ce bouton de fièvre avec du maquillage : fait correctement, c’est magique, fait à la va-vite, c’est un désastre à la Picasso. Il faut être délicat, ce n’est pas un concours de qui met le plus de filtres Snapchat.
Se rappeler que chaque retouche doit sublimer, pas transformer votre mannequin en alien de science-fiction. À moins que vous ne soyez en train de vendre des costumes pour la prochaine invasion extraterrestre, bien sûr.
Mise en scène : de l’art de ne pas transformer votre scène en théâtre de marionnettes
Mise en scène, mes amis, c’est là où le show commence. C’est comme un repas de famille : amusant si tout se passe bien, chaotique si votre oncle raconte encore sa blague éculée. Choisissez bien vos acteurs (ou vos produits) et positionnez-les intelligemment. Pensez Tarantino, pas télé-réalité.
Créativité visuelle : le sel du chef étoilé
La créativité visuelle, c’est un peu comme une épice exotique : il en faut suffisamment pour rehausser le plat, pas à vous faire cracher votre café. Elle peut transformer une image fade en une explosion de saveurs visuelles.
Soyez audacieux. Jouez avec les couleurs, les formes et les idées. Votre image doit être aussi mémorable qu’un karaoké raté auquel tout le monde a assisté. Mais dans le bon sens.
Campagne publicitaire : comme une tournée mondiale, mais sur papier glacé
Imaginez votre campagne publicitaire comme un concert de rock : ça doit être grandiose, mémorable, et personne ne doit s’endormir devant. Chacun de vos visuels doit raconter une partie de l’histoire, un chapitre du grand roman de votre marque.
N’oubliez pas que les meilleures campagnes restent en tête, un peu comme ce jingle agaçant que vous chantez toute la journée sans raisons apparentes.
Marque et produit : le duo dynamique
Votre marque et votre produit, c’est comme Batman et Robin, Bonnie et Clyde, le Nutella et la pâte à tartiner. Ils doivent être en symbiose parfaite. L’un attire, l’autre vend. Et ensemble, ils font office de duo gagnant.
Veillez à ce que votre image serve votre produit et porte vos valeurs de marque. Sinon, vous risquez la cacophonie, comme un orchestre sans chef.
Voilà, les amis, un tour rapide de l’univers des visuels publicitaires. C’était long, c’était court, c’était intense, mais surtout, j’espère que c’était un peu drôle. Rappelez-vous, la publicité, c’est avant tout raconter une histoire, même si parfois on dirait un conte pour enfants écrit par un panda qui n’a pas dormi depuis trois jours.
Bref, faites que votre image parle, chante, crie, mais surtout, qu’elle ne laisse personne indifférent. Et n’oubliez pas, si vous hésitez, engagez un professionnel. Parce qu’après tout, Rome ne s’est pas faite en un jour, et votre visuel ne se fera pas sans un peu d’aide non plus.