Bienvenue à Neuchâtel, là où les montres sont précises, mais où le temps s’arrête pour un bon cliché ! Aujourd’hui, on parle photographie et marques. Pourquoi ? Parce que la photo, c’est un peu comme faire des crêpes : faut bien choisir les ingrédients et surtout éviter de les brûler. Allez, on met l’appareil sur pause et on se lance.
Studio photo : l’antre de la magie (ou du café gratos)
Imaginez-vous entrer dans un studio photo. C’est comme entrer dans un hôtel de luxe, sauf qu’à la place des petits chocolats sur l’oreiller, vous avez des tas de cables et de projecteurs. Et puis, il y a l’éclairage professionnel, ce truc qui peut faire d’une pomme de terre un top model ou rendre une personne normale… eh bien, normale mais avec une peau incroyable.
éclairage professionnel : la lumière au bout du tunnel
Dans le monde de la photo, l’éclairage, c’est comme le maquillage à Halloween : trop peu, ça passe inaperçu. Trop, et on a l’air d’un clown. Alors, quand vous voyez une photo de produit qui semble dire « achète-moi, je suis génial », dites merci à l’éclairage professionnel. Sans lui, tout ça, ce serait une campagne publicitaire où le produit ressemble à votre oncle à Noël après le repas.
Composition d’image : l’art de jouer avec ses nourritures
Prenons la composition d’image. Vous savez, cette chose qui fait qu’une photo de pizza sur Instagram vous donne envie d’emprunter un avion pour New York juste pour une part. Pour une marque, la composition, c’est l’art d’aligner ses canards, ou plus précisément, ses produits, pour qu’ils chantent ensemble une symphonie visuelle. Mozart avait la « Petite Musique de Nuit », nous, on a la « Grosse Paella de Publicité ».
Retouche photo : la chirurgie esthétique pour pixels
La retouche photo, c’est comme un verre de vin : avec modération, c’est le top ; en excès, c’est le flop. Une bonne retouche, c’est lisser les rides d’une orange pour qu’elle devienne le George Clooney des agrumes. Mais attention à ne pas en faire un agrume Kardashian avec des lèvres plus pulpeuses que le produit lui-même. Et là, la marque, elle se dit « heureusement que photoshop existe, sinon mes produits auraient l’air tout flétris ».
Mise en scène : quand ton produit se prend pour meryl streep
Place à la mise en scène, où les produits jouent leur meilleur rôle. Ici, une bouteille de champagne ne se contente pas d’être sirotée. Non, elle défile sur un tapis rouge de bulles, sous un ciel étoilé de paillettes. C’est Hollywood mais version liquide et effervescent. Et là, gentils lecteurs, vous avez la sensation d’acheter une part de glamour, même si ça finit en flûte à champagne chez tata Michelle.
Créativité visuelle : lâcher les poules, ou plutôt les drones
Alors, comment injecter de la créativité visuelle dans tout ça ? Imaginez un photographe criant « libérez les poules » alors qu’il parlait des drones censés filmer un produit sous toutes ses coutures. La créativité, c’est prendre une statue de Rodin, la peindre en fluo, et s’apercevoir que c’est maintenant une lampe Ikea. C’est fou mais c’est beau, et ça rend un produit tellement unique que vous vous demandez comment vous avez pu vivre sans.
Campagne publicitaire : le grand cirque visuel
Une campagne publicitaire réussie, c’est un peu comme un cirque. Y a des lions, des clowns, et des jongleurs, sauf qu’ici, ce sont des photos de produits qui dansent sous vos yeux pour captiver votre attention. Un bon cliché, ça peut transformer une vieille brosse à dents, en la star montante du Festival de Cannes… enfin presque. En tout cas, à Neuchâtel, on sait le faire !
Marque : quand un logo devient plus célèbre que vous
Pour une marque, la photographie, c’est le GPS de son produit. Ça indique au client : « Ici, à gauche, entrez dans le monde merveilleux de notre univers, où même un savon semble parler en alexandrin ». C’est ce petit truc qui fait qu’un logo peut devenir plus connu que votre visage sur votre propre carte d’identité.
Produit : l’objet de tous les désirs ou du moins qu’on espère
Et enfin, le produit. Quand on en parle, faut imaginer ces petites séances photo comme passer chez Kevin le coiffeur avant un mariage : c’est là qu’on ajoute la touche finale, que l’on met les cheveux en place grâce à des litres de laque. Tout ce qui fait que, lorsque le client le voit, il se dit : « Mais je le veux ! » même si c’est une cafetière qui ressemble à R2-D2.
- Neuchâtel : Un nom à faire rêver, même pour une montre à comtoise.
- Studio photo : Le lieu où les produits deviennent des stars, ou vice-versa.
- Éclairage professionnel : Un must, sauf si vous voulez être une star de l’ombre.
- Composition d’image : La danse des produits en harmonie.
- Retouche photo : Suivez l’exemple de l’orange Clooney, pas Kardashian.
- Mise en scène : Le tapis rouge ou bousculade à Neuchâtel ? À vous de choisir.
- Créativité visuelle : Faites-en des tonnes, mais en bon goût !
- Campagne publicitaire : Un cirque en pleine effervescence.
- Marque : Faut qu’elle brille plus que votre souvenir du dernier Noël.
- Produit : La pièce maîtresse, celle qu’on mettrait même dans une exposition au Louvre.
Voilà, vous savez tout (ou presque) sur l’impact de la photographie sur la perception des marques. Maintenant, si vous vous sentez l’âme d’un artiste, n’hésitez pas à prendre vous-même vos clichés. Et souvenez-vous, un bon photographe, c’est comme un bon cuisinier : toujours prêt à fla-merder ses photos!
